Documents de travail octobre 2018
Sports violences, radicalisation ...
Organisée au stade MarcelPicot, la finale de l’école des
champions a réuni 160 enfants de la région Grand Est, pour une journée
conviviale. Ateliers sportifs et citoyens étaient au programme.
ER du 12 septembre 2016Frouard
L’association Ecole des Champions, dont le nom est tiré d’un
ancien code de chevalerie ("tu seras toujours et partout le champion du
bien et du droit"), a pour objectif de réunir des enfants entre 8 à 12 ans
de tout horizon pour un challenge s’appuyant sur des valeurs sportives et citoyennes
(prouesse et largesse), qui fait l’unanimité auprès de toutes les personnes
concernées par ces valeurs.
Depuis le début de l’Euro 2016, l’association Respérance sillonne les
quartiers populaires de la métropole nancéienne avec son dispositif
Respect’Zone. Il s’agit d’une manifestation familiale autour d’un
terrain de football amovible servant aussi de support à de grands
écrans TV, lors de la diffusion des matchs de l’équipe de France. «
L’objectif des Respect’Zones est de promouvoir auprès des spectateurs
des valeurs de fraternité ( v i v r e ens emble, tolérance, respect,
nonviolence, entraide) », souligne Darthial Bouka, animateur sportif à
Respérance. Article ER du 12 juillet 2016

Article Est Républicain 22 mai 2016
Une pelouse en rêve
« Faire comprendre à des jeunes les aspects du football de haut niveau.
Dégager une vraie réflexion citoyenne et de cohésion sociale.
L’objectif est de montrer la richesse et les valeurs portées par le
football amateur, via ses bénévoles notamment »
Daniel RONDEAU, une passion pour la boxe
Le programme « Citoyens du sport » est une des mesures du plan « la République en actes »

Article Est Républicain du 9 avril 2016
Animation => l'association
AVENIR a organisé son tournoi :
Foot citoyen
ER du 5 mai 2016
Succès des Trophées du Fair-Play
Fiches de
lecture

« PLEIN DROIT », LA REVUE DU GISTI
Sportifs immigrés : le revers de la médaille
Le sport est souvent désigné comme un facteur d’intégration des
populations étrangères en France. Pour preuve, on met en avant la
composition de l’équipe de France, de football notamment, dont les
joueurs sont les descendants des vagues d’immigration successives. Le
sport permettrait aussi d’opérer un brassage social qui ne se réalise
plus dans d’autres institutions « intégratrices ». Si on ajoute les
valeurs associées au sport de discipline, de solidarité ou de
dépassement de soi, on a là tous les ingrédients d’une fable sociale
que de nombreux clubs sportifs sont les premiers à véhiculer.
Mais, en réalité, combien d’étrangers se sont-ils « intégrés » en
France par le sport ? Et, le cas échéant, le sont-ils vraiment aux yeux
de la société… ou de l’administration ? La question se pose, d’autant
qu’à la moindre incartade à l’idéal « républicain » ou à la norme
attendue, l’extranéité, réelle ou supposée, est mise sur le tapis.